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Banamè : "Dieue ne perd jamais ses pouvoirs", Daagbo confond ses détracteurs

L’investigateur 17/03/2023 à 08:47

Pour une supposée perte de ses pouvoirs après la fuite de certains audios, Daagbo est sortie de son silence. Elle dit détenir toujours ses puissances et réaffirme être Dieue.

La fondatrice de la mission de Banamè a confié au cours d’une conférence de presse ce mercredi 15 mars, que ceux qui disent qu’elle a perdu ses pouvoirs veulent juste décourager les personnes qui voudraient rejoindre sa religion. . "Ceux qui disent que Banamè n’a plus de pouvoir, c’est pour que d’autres n’aillent plus goûter à ce à quoi ils ont goûté, c’est le malin, c’est la malhonnêteté de l’être humain", dit-t-elle. Daagbo a confié qu’elle ne pourra pas perdre sa puissance. "Moi je suis Dieue et Dieue ne perd jamais ses pouvoirs."

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Selon Parfaite de Banamè, que les gens croient en elle ou pas, elle est toujours Dieue. "Ce n’est pas parce que vous n’y croyez pas, vous qui êtes devant moi ou que certains Béninois n’y croient pas, que je vais arrêter d’assumer ce que je suis ou qui je suis, non. Je le redis, je le répète, c’est le père de Jésus Christ que je suis. Je suis Dieue Esprit Saint et Dieue ne
perd pas ses pouvoirs. Je suis toujours là en chair et en os, en esprit et en vérité", a-t-elle déclaré avant d’ajouter : "Ça n’arrivera jamais. Ils savent que ça n’arrivera jamais."

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Par rapport aux témoignages des anciens fidèles de sa mission, Daagbo estime qu’ils ne peuvent pas lui retirer ses pouvoirs. "Ce n’est pas parce qu’ ils sont partis que je vais perdre mes pouvoirs, je ne leur ai pas confié mes pouvoirs. Ils ne sont pas partis avec mes pouvoirs. Donc j’étais avec mes pouvoirs avant qu’ils ne viennent et je suis encore avec mes pouvoirs jusqu’à leur départ de la mission", a-t-elle laissé entendre selon Banouto.
A en croire ses propos, l’église de Banamè a de beaux jours devant elle. "Allez l’écrire quelque part, je ne parle pas pour parler, je ne parle pas pour blaguer. Ceux qui vont m’adorer ne sont pas encore venus. Il n’y a pas encore du monde à Banamè, les gens viendront de tous les coins du monde entier et quand cela arrivera, ce sera un gros point, une source de développement pour votre pays."




 
 

 
 
 

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