L’ancien bâtonnier Me Jacques Migan a opiné sur la sortie médiatique du Chef de l’Etat, Patrice Talon sur la chaîne française LCI. Invité sur Esae TV ce dimanche 12 mars 2023, l’avocat n’a pas caché la joie que lui a procurée la sortie du président de la République. Au même moment, il a dire publiquement que les régimes précédents dont celui de Boni Yayi ont failli dans la lutte contre la cybercriminalité.

La lutte contre la cybercriminalité est au cœur des débats actuellement. Invité sur ESAE TV dimanche dernier, Jacques Migan a abordé le sujet. Selon ses propos, les régimes précédents ont failli. Il se désole de ce que les parents, les éducateurs ont également failli à leur mission, selon le compte-rendu du Journal l’Evénement Précis. Pour lui, « les cybercriminels sont des gens qui ne veulent pas travailler et aiment le gain facile. Il encourage et félicite l’OCRC et la police républicaine dans cette lutte, avant d’inviter la population à les dénoncer.

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Sur le plan politique, il soutient que la présence des Démocrates au parlement est la vitalité de la démocratie. Il a aussi salué la réélection de Louis Vlavonou à la tête du parlement. « C’est un homme qui a de l’expérience. Si la mouvance présidentielle l’a reconduit, c’est pour sa bonne gestion. C’est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. C’est surtout sous sa présidence que nous avons connue plus de lois importantes », estime l’invité. Par rapport au professeur Joseph Djogbénou qui retourne au barreau, il n’y trouve aucun inconvénient. « C’est normal, qu’il exerce la fonction qu’il sait faire ».

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Des lauriers à Talon

« Nous sommes en train de vivre quelque chose que nous n’avons jamais vu depuis 1960 », a soutenu Maître Jacques Migan qui enchaîne pour reconnaître que le président Patrice Talon a permis au Bénin d’être parmi les 10 meilleures économies du monde.
A l’en croire, il est fier du progrès des réformes opérées sous le régime de la rupture. Et, les propos du Chef de l’Etat, l’ont convaincu de ce qu’il ne faut pas user de la force pour régler les problèmes entre pays. « J’ai beaucoup apprécié son intervention. J’ai apprécié ses propos sur la présence des Wagner en Afrique et la démographie », a ajouté Me Migan. Il est sur la même longueur d’onde que le président de la République qui a parlé du contrôle des naissances en Afrique. Car, le praticien du droit est d’accord là-dessus et admet qu’il faut être en mesure de supporter ses propres enfants qu’on a.