C’est par un texte-réplique rendu officiel par leur Porte-parole, Frédéric Béhanzin, que les Jeunes Patriotes du Bénin ont mis en déroute les attaques de certains opposants aux choix du président Patrice Talon.

« La haine ne triomphera jamais dans notre pays ». C’est par cette prière à l’allure de certitude, de conviction que le Porte-parole des Jeunes Patriotes du Bénin, Frédéric Béhanzin a introduit son texte-réplique. Tout serait parti de certaines prises de position de l’activiste Loth Houénou et d’autres face aux choix du Chef de l’Etat dans le domaine de la sécurité et de la défense. Notamment le choix du colonel Bada, appelé par Patrice Talon à ses côtés.

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« Ce n’est pas étonnant que l’actuel Président de la République, l’ait identifié et nommé à la tête de son Cabinet Militaire, faisant de lui l’interface avec l’armée et les forces de sécurité et assimilés, mais également son principal conseiller au pilotage des réformes au sein des FAB ... Sa présence aux côtés du chef de l’État dérange en ce sens qu’il est un homme froid - dur, incorruptible et serein, (genre colombe d’acier comme son avion militaire ou faucon en duvet) comme un vrai pilote », a confié Frédéric Béhanzin.
Pour lui, c’est le fait que l’homme soit toujours en fonction qui dérange ses détracteurs dont « les objectifs sont connus ; c’est fragilisé le Chef de l’État en s’attaquant au maximum à ses éléments piliers, grâce à qui les réformes avancent ». Il continue en conditionnant, « si le Colonel remplissait les conditions de mise à la retraite, il serait déjà parti sous ce régime connu pour sa rigueur. Sous Patrice TALON on ne fait pas le faux ».

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Le Porte-parole et défenseur de circonstance, profite de l’occasion pour donner un bref résumé du CV du collaborateur de Patrice Talon. Le tord du Colonel BADA, c’est d’avoir tout réussi très jeûne, BAC C, DIPLÔMES de Pilote à 22 ans en France. Revenu au pays en 1986 avant même 23 ans, il a piloté tous les anciens présidents de la République.
Seulement, cette sortie des jeunes dits patriotes n’est pas une surprise. Sous le prédécesseur du président Patrice Talon, ils ont joué ce même rôle. Mais jamais, on ne les voit défendre vraiment la jeunesse. Ce qui est dommage.