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Le mal-aimé du football béninois, l’ancien président de la Fédération béninoise de football, Anjorin Moucharafou serait en train de rire sous cape. Au regard de la situation inconfortable que vivent les Ecureuils à Freetown. Chose due à la guerre psychologique.

C’est bien possible actuellement avec la guerre psychologique que subissent les Ecureuils à Freetown. On peut tout lui reprocher, mais à son époque, il est probablement impossible que l’équipe nationale vive un tel scénario.

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En effet, avec ses relations à la Confédération africaine de football au temps du « vieux camerounais », Anjorin Moucharafou savait comment déplacer les pions pour régler les problèmes auxquels l’équipe nationale est confrontée. Certes ceux qui sont actuellement en poste, essaient de faire de leur mieux. Mais pour un match aussi capital que celui entre le Bénin et la Sierra Léone, on pouvait s’attendre à ce que le pays hôte aille sur le terrain de la pandémie. Six (06) titulaires out, c’est inadmissible et si la Caf avale la couleuvre, ce serait un coup de réussi pour la Sierra Léone. En tout cas, c’est le moment pour les autorités béninoises de sortir leur carnet d’adresse pour inverser la tendance.

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L’investigateur

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