Depuis fin 2021, le Bénin a renforcé ses textes, notamment les dispositions de la loi portant répression des infractions à raison du genre, qui interdisent toutes relations amoureuses ou sexuelles entre enseignant et élève ou étudiante. En accord avec cette loi un enseignant de PCT du CEG Ekpè a été déposé derrière les barreaux mercredi dernier.

Le gouvernement béninois au vu de certaines situations, a fait voter une loi qui protège mieux la femme. Les disposions de celle-ci qui permettent la mise en place de toutes les stratégies possibles et de stratégies de maintien des filles dans leur parcours de formation, interdisent toute relation amoureuse voire sexuelle entre enseignant et ses jeunes élèves et étudiantes. Ce qui favorise la condition de ces filles qui peuvent aller le plus loin possible dans leurs études.

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Cette loi n’est apparemment pas respectée dans certains CEG, comme c’est le cas mercredi dernier au CEG Ekpè où un enseignant de PCT indélicat a été pris et déposé à la prison civile de Missérété pour avoir eu des relations intimes avec son élève mineure de 17 ans.

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A en croire les sources de 24 heures au Bénin, « l’enseignant en question entretenait la relation amoureuse secrète avec la jeune fille de 17 ans. Informée, la responsable de classe en a parlé auprès de ses camarades. C’est ainsi que de bouches à oreilles l’administration et les parents ont été informés ». « Après des enquêtes qui ont prouvé les faits, le directeur a conduit le couple, l’élève et le professeur, au commissariat de la Police républicaine de Ekpè. Présenté au procureur, l’enseignant a été déposé à la prison civile de Missérété en attendant son procès », ajoute le média.

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La punition de cette situation est la preuve que le gouvernement est déterminé à sécuriser la condition de la femme et des filles en République du Bénin.