Une animatrice d’une émission télévisée et toute l’équipe de cette chaîne privée ont été convoqués devant la commission d’instruction de la carte de presse de l’éthique et de déontologie de la Haute Autorité de l’Audiovisuelle et de la communication (Haac). Cela fait suite à l’une de leur émission sur le sexe qui a été critiquée par les internautes au regard de sa quintessence.

Une chaîne de télévision privée de la place au cœur d’une grosse polémique depuis quelques jours, après avoir reçu sur l’une de ses émission « Le goût de ça », une bizzi girl assumée. Les propos de cette dernière ont été fortement condamnés par des internautes qui ont abondamment relayé un extrait de l’émission. Informée, la Haac a convoqué l’animatrice et ses responsables. Selon les informations de frissons radio, il s’agit en effet de l’animatrice de l’émission « Top O Féminin » dont le dernier numéro portant sur le thème : « bizzi girls : s3xualité décomplexée ou vénale ? », a suscité une vive polémique dans le rang des internautes qui ont désapprouvé le contenu de l’émission.

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Au cours de son intervention, la bizzi girl connue sous le pseudo « Le goût de ça" a tenu des propos comme : " Je vais dans des foyers où je mange le mari et la femme". Une sorte de dire qu’elle est la reine de la prostitution et avoue sans gêne qu’elle s’occupe désormais d’y insérer d’autres filles. Les déclarations de la jeune dame de 19 ans sont qualifiées de vulgaires et dépravées par les internautes.

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Selon la source, ces propos ont choqué les sensibilités et dérangé la pudeur de certains internautes qui ont réclamé des sanctions. Et c’est ce que la Haac a fait en convoquant l’animatrice et toute l’équipe de ladite chaîne. Mais après audition, on apprend que le verdict n’est pas encore livré.

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Faut-il le rappeler, cette interpellation de la Haac intervient dans un contexte où les affaires de sextape deviennent récurrentes sur la toile depuis quelques jours. La dernière en date, reste celle survenue dans une ville du Bénin où on pouvait voir une jeune fille se faisait grimper par trois jeunes hommes contre une somme d’argent estimée à 15.000 Francs CFA.