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Ce mardi 21 novembre 2023, le président Emmanuel Macron a reçu son homologue de la Côte-d’Ivoire, Alassane Ouattara à l’Elysée. Au cours des échanges, le président français a notifié la condition à remplir par les putschistes au Niger avant une quelconque négociation avec la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Le 26 juillet 2023, le Niger, pays dirigé par le président Mohammed Bazoum élu démocratiquement pour son premier mandat, a connu un coup d’état. En effet, ce putsch inattendu et surprenant, a été organisé par le Général Abdourahamane Tiani. Comme raisons, le général putschiste a estimé que sous le président Bazoum il y avait « le discours politique » qui voulait faire croire que « tout va bien », alors qu’il y a « la dure réalité avec son lot de morts, de déplacés, d’humiliation et de frustration ». Selon lui, « l’approche sécuritaire » des autorités d’alors, « n’a pas permis de sécuriser le pays en dépit de lourds sacrifices consentis par les Nigériens et le soutien appréciable et apprécié des partenaires extérieurs ».
Lire aussi : [Actualité : La Cour de justice de l’UEMOA déboute la junte nigérienne et son Président Tiani)>https://www.linvestigateur.info/?La-Cour-de-justice-de-l-UEMOA-deboute-la-junte-nigerienne-et-son-President&var_mode=calcul]
Au lendemain ce coup d’Etat survenu après celui du Burkina, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), a pris des sanctions contre le pays. Le 30 juillet, à travers un communiqué, elle a ordonné que le président Mohammed Bazoum « démocratiquement élu » soit « libéré et réinstallé ». Une intervention militaire n’était pas exclue au début de la crise. Il faut remarquer que les nouvelles autorités ont séquestré la président Mohamed Bazoum déchu, et ont pris l’initiative de le juger pour « haute trahison ».
Plusieurs mois après, c’est-à-dire, ce mardi 21 novembre à l’Elysée en France, le président Macron qui recevait son homologue ivoirien, Alassane Ouattara à déjeuner, a clairement dévoilé l’unique condition à remplir désormais par la junte avant toute négociation avec la Cédéao. A savoir : la libération de M. Bazoum, selon Rfi.
Car, faut-il le rappeler aussi, les militaires quant à la gestion du pays, sont en difficulté, à cause des sanctions prises par la Cédéao. Gel des avoirs, fermeture des frontières avec les voisins, coupure d’électricité par le Nigeria etc.
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