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Outre le projet lié à l’Esplanade des Amazones abordé lors de son récent entretien avec un média de la place, l’ancien ministre délégué auprès du président de la République, Candide Azannaï a aussi balayé du revers de la main, toutes les réformes engagées par le régime du Président Patrice Talon. Il estime qu’il n’a pas de réformes au Bénin.
Les réformes opérées sous le régime du président Patrice Talon n’ont pas été faites dans les requises, selon l’ancien député Candide Azannaï. " Selon la doctrine, pour parler de réforme il y a trois niveaux d’approches préalables, trois choses d’abord. En plus de ces choses, il faut une quatrième ; un mécanisme sincère d’évaluation, une évaluation publique, objective et crédible pour ne pas dire indépendante", a-t-il d’abord clarifié avant de déclarer que ces préalables ne sont pas réunies par Patrice Talon avant l’avènement de ce qu’il appelle réforme " Il faut faire l’état des lieux en invitant les raisons qui nécessitent un besoin de réformes. Les causes qui nécessitent une réforme entendue ici comme un projet mélioratif de solutions idoines. Ensuite, vous voyez la possibilité, la faisabilité par rapport aux responsabilités d’une part et d’autre part, par rapport aux bouleversements susceptibles de résulter de la non prise en compte des droits et avantages acquis ou préexistants", révèle Candide Azannaï.
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Dans son argumentation, le président du parti politique Restaurer l’Espoir a laissé entendre que "Lorsqu’on est réformateur, on doit veiller à ce que les avantages de ceux qui soutiennent, soient des avantages compatibles avec les valeurs et les principes universels admis préalablement par tous. De la même manière ceux qui redoutent, qui sont opposés ne doivent perdre ou être désavantagés qu’en respect des mêmes principes et valeurs universelles préalablement admis par tous". Pour lui," Une réforme qui exclut n’est pas une réforme ; une réforme qui tue n’est pas une réforme". C’est pourquoi Candide Azannaï pense qu’on "ne peut pas engager de réformes lorsque ces choses ne sont pas assurées et que le mécanisme de l’évaluation est le recours à la force et à l’utilisation des armes à feu". Car indique-t-il, lorsqu’on veut faire des réformes, on doit savoir qu’il y a des gens qui vont soutenir et ceux qui vont s’y opposer, qui vont les redouter ; ceux qui ne sont pas satisfaits, rassurés, convaincus du bien-fondé de ces réformes. Selon ses dires, "Le réformateur ne doit pas ignorer ces derniers sous prétexte qu’il dispose des armes de la République..", rapporte La Dépêche-Afric Info.
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