Société
Bénin : un étudiant interpellé en (…) 17 juin 2025Politique
Parlement des Jeunes du Bénin : la (…) 17 juin 2025Inter
Drame à Antananarivo : une intoxication 17 juin 2025Société
Carnet noir : Vlavonou pleure la (…) 17 juin 2025Société
Après l’éclatement de l’affaire liée au décès d’un homme tué par son épouse à coups de hache, les principales activistes des droits de la femme au Bénin sont prises à partie. Il leur est reproché de n’avoir pas réagi à la suite d’une scène surréaliste où une femme a égorgé son mari avant de se rendre au Commissariat de Police. Or, le problème dans le cas d’espèce est plus profond et cela doit interpeller la conscience de tout le monde. S’agit-il d’un fait divers ou d’un fait lié à la violence conjugale ?
| Lire aussi : Togo : 07 enfants tués dans une nouvelle attaque terroriste dans le Nord hier
En effet, selon des sources proches du couple, la femme était atteinte de démence. Elle aurait même séjourné au Centre psychiatrique Jacquot pour recevoir des soins. "Une femme qui a tué son homme aussi froidement, ce n’est plus dans le champ des violences conjugales. Il faut s’interroger sur le profil psychologique de la tueuse. Et en Afrique, il faut aller consulter...", a confié un spécialiste des questions de droit. En réalité, tel que les faits se sont produits, tout Béninois épris de justice et soucieux de l’égalité des sexes ou des droits de l’homme doit se poser de question. Comment une femme normale qui a achevé son mari peut-elle aller se rendre à la Police accompagnée de ses enfants pour annoncer son forfait ? Et puis, qu’appelle-t-on violence conjugale ? Les violences conjugales sont basées sur une relation de domination au sein du couple, elles ne sont pas un simple conflit, ni un acte accidentel comme l’affirme Marie-France Hirigoyen, Docteure en médecine et spécialiste en psychiatrie, dans son ouvrage "Femmes sous emprise, les ressorts de la violence dans le couple". Dans le cas précis, il s’agit d’un accident ou d’un drame. A partir de ce moment, le procès qui est fait aux activistes des droits de la femme ne tient pas.
Société
« N’ayons pas peur de... », Bruno Amoussou prend la parole 16 juin 2025Inter
Inde : un deuxième crash d’avion a fait des morts dans les montagnes de (…) 16 juin 2025Société
Bénin - Affaire Djecomon : accusé d’avoir abandonné une fille enceinte, son (…) 16 juin 2025Société
Bénin : l’humoriste et comédien Eléphant Mouillé dévoile l’origine (…) 16 juin 2025Société
Criet : 5 ans de prison ferme requis contre l’époux d’une banquière en (…) 17 juin 2025Abonnez-vous et recevez chaque semaine, notre sélection d'articles de la semaine.