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En plénière le jeudi 20 janvier 2022, les députés de la 8ème législature ont adopté la loi N°2022-04, portant hygiène publique en République du Bénin. Une loi dont deux députés, Gildas Agonkan et Jérémie Adomahou sont les initiateurs.
En effet, la loi statue sur la gestion des cadavres et de l’hygiène menstruelle ou encore la pollution sonore vient d’être adoptée au Bénin. Elle prévoit désormais des peines d’emprisonnement allant jusqu’à 5, 3 ans pour les délits et 1 an pour les contraventions en ce qui concerne les auteurs. Pour sa mise en œuvre, la police sanitaire a fusionné avec la police environnementale. « Les agents de ces structures devront faire respecter la loi sur l’hygiène publique », a dit le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin présent à l’Assemblée nationale, au cours du vote.
Les explications du député Agonkan, co-initiateur de la loi
Pour l’honorable Gildas Agonkan, l’un des géniteurs de la loi reçu sur Frissons radio, « c’est une nouvelle loi qui vient corrigée les dispositions de l’ancienne loi qui existait depuis 1987 ». Il a déclaré que l’ancienne loi « n’est plus en accointance avec la réforme de la décentralisation » car, selon ses propos, « nous avons connu la réforme de la décentralisation avec l’installation des communes depuis 2002, 2003 ». Il a renchéri en disant qu’il faut qu’on adapte « les anciennes dispositions avec la réforme de l’administration territoire ».
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Pour l’élu de la 23ème circonscription électorale, la nouvelle loi vient beaucoup pour corriger « les comportements au niveau de nos villes, au niveau de nos cités, en matière d’eau, en matière de comportements par rapport aux eaux usées, par rapport aux installations sanitaires dans les lieux publics, dans les lieux privés, la question de la pollution sonore ». Il a précisé que la correction de tous ces dysfonctionnements va « rendre pratique le cadre de vie en république du Bénin ».
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Rappelons la loi N°2022-04 portant hygiène publique en République du Bénin définit clairement le rôle des collectivités décentralisées dans la promotion de l’hygiène, les questions de l’hygiène des bâtiments publics, des établissements des différents ordres d’enseignements, l’hygiène des établissements sanitaires, des centres de détention, la gestion des cadavres et la gestion de l’hygiène menstruelle.
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