Société

Dans la nuit du mardi 25 au mercredi 26 octobre 2022 à la prison civile de Kandi, département de l’Alibori, les forces de défense et de sécurité ont stoppés des individus armés. Aucun blessé, ni mort du côté de l’armée béninoise n’a été signalé.

Selon 24haubenin, les autochtones de la prison civile de Kandi et du domicile du maire ont été réveillés par des coups de feu dans la nuit du mardi 25 au mercredi 26 octobre 2022, entre 1 heure et 3 heures du matin. Les faits révèlent que des individus armés ont essayé d’attaquer la prison civile. Pendant au moins deux heures d’horloge des échanges de tirs entre les forces de défense et de sécurité et les présumés djihadistes se faisaient entendre. Heureusement pour la population, les forces de défense et de sécurité ont neutralisé les individus armés avec un bilan humain plutôt positif.

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En effet, aucun blessé, ni mort n’a été enregistré dans les rangs de l’armée béninoise. L’attaque du groupe armé intervient trois jours après la menace de bombardement de présumés djihadistes réclamant la libération de certains de leurs membres arrêtés. La nuit du dimanche 23 octobre, un groupe d’individus s’était introduit dans l’école urbaine centre. Alors, dans la mâtiné du jour suivant, des affiches, sur lesquelles figuraient des menaces de bombardement, ont été retrouvées sur des portes des classes de l’école. Trois jours plus tard, l’armée béninoise a stoppé la progression d’un groupe armé en direction de la prison civile de Kandi.

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L’investigateur

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