Les progrès technologiques avec le développement de l’usage de l’internet ont créé un nouveau défi pour les pays africains : la maîtrise de la menace grandissante de la cybercriminalité.

Le magazine Forbes Afrique a récemment publié une liste des pays les plus exposés et les pays les mieux protégés face à la cybermenace. En ce qui concerne les pays mieux protégés, il y a l’île Maurice, l’Égypte, la Tanzanie, le Ghana, la Tunisie, le Nigéria, le Maroc, le Kenya, le Bénin et le Rwanda. Ils font partie de la trentaine de pays ayant élaboré un niveau de cybersécurité répondant aux normes internationales généralement admises.

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Dans le sens contraire, la République démocratique du Congo, le Burundi, la Guinée équatoriale ou Djibouti ne disposent que d’un niveau de cybersécurité basique. La cybercriminalité représente désormais un risque majeur pour les personnes et les organisations. Les cybercriminels adaptent leurs stratégies à l’évolution technologiques pour exploiter les failles.

Les attaques par déni de service distribué (DDoS), les tentatives d’hameçonnage, les campagnes de logiciels malveillants, les attaques par ransomware sont des méthodes sophistiquées utilisées par les cybercriminels. Les victimes se retrouvent souvent démunies financièrement, psychologiquement et sur le plan affectif.

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