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Dans le cadre de la procédure en cours de destitution du 45ème président des États-Unis, Donald Trump, les démocrates ont appelé, ce mercredi 22 janvier 2020, leurs collègues sénateurs républicains à avoir le courage de rechercher la vérité dans le procès en destitution de Donald Trump, accusé de tricherie pour remporter un second mandat à la Maison Blanche.
Assisté par six confrères, Adam Schiff est revenu sur les deux chefs d’accusation retenus le 18 décembre 2019 contre le locataire de la Maison Blanche à savoir : abus de pouvoir et entrave au travail du Congrès. Après une première journée marathon qui a fixé le cadre de ce procès hors norme, les cent sénateurs ont écouté pendant près de neuf heures dans le plus grand silence, les procureurs reprendre l’historique de cette affaire. Ils se sont notamment appuyés sur de nombreux extraits des témoignages de membres du gouvernement devant la commission parlementaire à la Chambre des représentants en novembre. « Ils ont tous risqué, leurs carrières. Je sais que ce que l’on vous demande peut aussi mettre la vôtre en danger. Mais s’ils ont eu du courage, nous le pouvons aussi », a lancé Adam Schiff à l’adresse des 53 républicains, qui font jusqu’ici corps derrière Donald Trump. Donald Trump a « exercé des pressions sur l’Ukraine pour qu’elle annonce des enquêtes », pouvant servir sa campagne de réélection, dont l’une visait à "salir" un de ses rivaux potentiels, le démocrate Joe Biden, a assené cet ancien procureur. Pour parvenir à ses fins, « en d’autres termes pour tricher », le président a notamment « gelé des centaines de millions de dollars d’aide militaire à un allié stratégique en guerre avec la Russie », a-t-il poursuivi. Une fois ses actes rendus publics, il a « utilisé ses pouvoirs » pour bloquer l’enquête de la Chambre, a affirmé cette fin connaisseuse du dossier, qui a supervisé les investigations. Jeudi, ils se pencheront à partir de 13 h (18 h GMT) sur le cadre constitutionnel de ce procès et vendredi, sur la conduite du président qui l’a conduit à être mis en accusation. Les sénateurs, qui font office de jurés, auront ensuite 16 heures pour poser leurs questions, par écrit. Entre-temps, ils devront rester vissés sur leur siège sans prendre la parole, ni consulter leur téléphone ou ordinateur, les équipements électroniques étant interdits dans l’hémicycle. Ce cadre strict vise à assurer la dignité des débats, même si les esprits s’étaient déjà échauffés mardi.
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