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Un mois après sa condamnation à une réclusion criminelle de 20 ans et une amende de 50 millions FCFA, le dossier de l’opposante béninoise, Reckya Madougou n’est pas enterré. Au contraire.
Les lignes bougent à nouveau après le passage du ministre de l’Europe et des affaires étrangères français, Jean-Yves Le Drian interrogé mercredi dernier par sa propre majorité. Ainsi, dans le sillage le professeur à l’université Sciences PO Paris, Francis Kpatindé a dévoilé les coulisses de l’affaire. Selon ses déclarations sur RFI, il y a eu avant même la condamnation de l’opposante beninose, des interventions des pairs de la sous-région pourque Patrice Talon, en ce qui concerne le dossier, mette sa pédale en douce.
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En effet selon les informations du Professeur, des présidents de Côte d’Ivoire Alassane Ouattara, Macky Sall du Sénégal, Nana Addo du Ghana, Mahammadu Buhari du Nigeria ont plaidé le cas Madougou auprès de leur homologue du Bénin Patrice Talon. Des interventions qui somme toute, ne sont guère des pressions ( sauf peut-être le Nigeria), contrairement à celle de la France qui s’est voulue discrète. En tout cas, jusqu’à mercredi dernier où son ministre Jean-Yves Le Drian affichait publiquement le rôle joué par l’hexagone pour que l’ancienne ministre du Bénin recouvre sa liberté. De toute façon, Paris suit le dossier et ne souhaite pas frustrer Cotonou contrairement aux Américains qui ont opté pour une menace sur tous les plans jusqu’à satisfaction.
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Visée par la justice lors des violences électorales, la sortie de prison de Reckya Madougou condamnée pour complicité d’actes terroristes et financement de terrorisme ne tient plus qu’à une grâce présidentielle. Et, à propos, le Professeur Francis Kpatindé estime que le président béninois Patrice Talon peut le faire à tout moment et sans attendre forcément l’avènement de la fête du 1er août. Toutefois,le journaliste a reconnu que le précurseur de la Rupture n’aime pas qu’on lui force la main.
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