La presse béninoise se meurt …

Les associations professionnelles sont en panne. Et même les journalistes et autres professionnels sont devenus des bourreaux les uns pour les autres. D’ailleurs, c’est la politique du sous-marin qui est de mise dans tous les domaines au Bénin. Chacun joue ses cartes personnelles en fonction de ses intérêts. Sauver le bien commun n’intéresse personne.

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Depuis que le confrère de Porto-Novo a été interpellé, c’est silence radio. Un communiqué aussi laconique qu’il soit, aurait été le bienvenu ! Mais rien. Le dernier coup de force au plus haut niveau de l’une de ces associations professionnelles de la presse témoigne de la déliquescence du métier ! A l’heure de mouiller le maillot, les intérêts personnels, la peur d’être impopulaire ou encore la peur de se voir retirer le biberon priment sur tout !

Honte à vous, spectateurs heureux et impassibles ! Mais cette hypocrisie collective nous maintiendra à coup sûr dans le sous-développement. Et ça n’arrive pas qu’aux autres…

Courage à toi cher confrère !!!

#AngelaKpeidja #naiepaspeur #Brisdesilence