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La France avait été sollicitée aux premières heures du putsch au Niger, pour libérer le président déchu, Mohamed Bazoum.
Selon les informations du « Monde », des autorités avaient demandé le concours de Paris pour le délivrer le président, « otage » des mutins.
D’abord, l’information concernant la libération du président déchu du Niger, Mohamed Bazoum a été confirmée par les putschistes dans la nuit du 30 au 31 juillet. A la télévision nationale, le colonel-major de l’armée de l’air, actuel porte-parole de la junte, Amadou Abdramane a déclaré que « dans sa ligne de conduite allant dans le sens de la recherche des voies et moyens pour intervenir militairement au Niger, la France, avec la complicité de certains Nigériens, a tenu une réunion à l’état-major de la garde nationale du Niger, pour obtenir des autorisations politiques et militaires nécessaires ».
Lire aussi : [Niger : perquisition aux domiciles des proches de Bazoum, 60 millions retrouvés chez le premier ministre>https://www.linvestigateur.info/?Niger-perquisition-aux-domiciles-des-proches-de-Bazoum-60-millions-retrouves&var_mode=calcul]
En outre, selon le média français, Hassoumi Massaoudou, ministre des affaires étrangères de Mohamed Bazoum, assumant l’intérim du premier ministre par intérim, a signé un document qui « autorise le partenaire français à effectuer des frappes au sein du palais présidentiel afin de libérer le président de la République du Niger pris en otage ». Un texte similaire a également été paraphé « au nom du chef d’état-major des armées », a ajouté le colonel-major Midou Guirey, commandant de la garde nationale du Niger, selon le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP).
Et, selon un proche du président Bazoum, l’information serait vérifiée. « Quand on a compris, dans les premières heures, qu’il s’agissait vraiment d’un coup d’Etat, le premier ministre par intérim Massaoudou a demandé, tout à fait normalement, l’appui de la France, raconte ce conseiller qui a requis l’anonymat. La France a demandé qu’il y ait une autorisation écrite », a-t-il dit.
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