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À l’approche des élections législatives anticipées prévues pour le 17 novembre 2024 au Sénégal, une polémique éclate autour de la candidature d’Ousmane Sonko, leader du parti PASTEF et actuel Premier ministre.

La coalition de l’opposition Takku Wallu Sénégal (TWS), dirigée par l’ancien président Macky Sall, a déposé ce lundi 7 octobre, un recours auprès du Conseil constitutionnel pour contester l’éligibilité d’Ousmane Sonko, tête de liste du parti au pouvoir, en raison de sa condamnation judiciaire. Cette coalition, qui inclut l’ancien parti au pouvoir, l’Alliance pour la République (APR), ainsi que le Parti Démocratique Sénégalais (PDS), estime que le Premier ministre est inéligible en raison d’une condamnation à six mois de prison avec sursis pour diffamation et de son statut « en état de contumace ».

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Le Conseil constitutionnel est désormais attendu pour se prononcer sur ce recours. Le verdict sera crucial pour Ousmane Sonko ainsi que pour le président Bassirou Diomaye Faye, qui avait dissous l’Assemblée nationale dans l’espoir d’obtenir une majorité parlementaire lors de ces élections anticipées. À ce jour, le ministère de l’Intérieur a validé 41 listes de candidatures pour ce scrutin.

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L’investigateur

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