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Talon : Jacques Ayadji, un proche du président accuse les régimes précédents après le drame du CNHU

L’investigateur 14/10/2022 à 15:18

Le drame survenu le vendredi 7 Octobre 2022, à la Clinique Universitaire Polyvalente d’anesthésie réanimation du CNHU de Cotonou, ne laisse personne indifférent. Au nombre des réactions, il y a celle du président du Parti Mouvement des Élites Engagées pour l’Émancipation du Bénin (MOELE–BENIN), Jacques Ayadji.

Tout en compatissant à la douleur des familles des victimes du drame survenu au CNHU, le président du part Mouvement des Élites Engagées pour l’Émancipation du Bénin (MOELE–BENIN), Jacques Ayadji pense trouver le coupable. Pour lui, ce qui s’est passé est la conséquence de la mauvaise gestion des régimes précédents. « Les responsables de ces événements, c’est beaucoup plus les gouvernements qui se sont précédés« , accuse l’ancien syndicaliste.
Car, il soutient que sous le régime du Nouveau départ, des efforts ont été faits pour l’amélioration de la qualité des soins administrés aux patients au CNHU.
« …Ce qui s’est passé, c’est regrettable. Nous avons connu une panne d’électricité au niveau du CNHU et cela a entraîné la mort de 4 de nos compatriotes que nous déplorons« , a confié l’ancien syndicaliste à une web télévision.

| Lire aussi : AG de l’ONU : le Bénin s’oppose à l’annexion des territoires ukrainiens et vote contre la Russie

Effectivement après la panne survenue, il y a eu quatre décès à la clinique universitaire polyvalente d’anesthésie-réanimation du CNHU. Pendant que certains parlent d’absence d’un groupe électrogène de relai, le porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji est monté au créneau et a fait savoir que le gouvernement a doté le CNHU en général et le service de réanimation en particulier de groupes électrogènes. Notamment en 2017 et 2021 a-t-il dit. D’où la thèse d’un dysfonctionnement.
Outre les réactions, le gouvernement a présenté ses condoléances aux familles éplorées et a ouvert une enquête. Laquelle a permis à la brigade criminelle d’écouter le Directeur général du CNHU Dieudonné Gnonlonfoun et d’autres agents parmi lesquels quatre (04) sont actuellement en garde à vue. Sur les réseaux sociaux, la polémique enfle et certains appellent à la démission des autorités impliquées.




 
 

 
 
 

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