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Bénin : des vivres aux enfants des professionnels des médias, décédés

L’investigateur 24/12/2020 à 08:51

Les enfants des professionnels des médias, décédés et résidants dans les environs de la commune d’Abomey-Calavi étaient à l’honneur dans la matinée de ce mercredi 23 décembre 2020.

Il s’agit en effet du lancement de la 6ème édition de la Noël des enfants des professionnels des médias décédés. Lancée par la Présidente du comité d’organisation Rafiatou Mamadou, rédactrice en chef de ETELE, cette activité faite sur fonds propres, est une initiative personnelle qui vise à permettre aux orphelins des médias de mieux passer la fête de la noël et de recevoir de leur donateur, un grain d’amour.

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Dans son mot d’ouverture, Rafiatou Mamadou a fait savoir que la Noël des orphelins des professionnels des médias est un concept qui regroupe à chaque fête de la Noël, les enfants des confrères et consœurs journalistes décédés. Datant de plus de 6 ans déjà, l’initiative de cette année est toute particulière.

« Nous n’avons pas fait comme les autres années parce que l’union qui nous coiffe prend en compte désormais tous les orphelins. Et j’ai pensé offrir à ses enfants des kits de vivre et des cadeaux pour leur permettre de festoyer comme les autres enfants à Noël », a fait savoir la Présidente du comité d’organisation Rafiatou Mamadou. Ces vivres sont composés de riz, de l’huile, des poulets et des cadeaux pour les enfants.

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« L’évènement de ce matin, c’est juste le lancement où j’ai fait appels aux familles proches d’Abomey-Calavi et qui sont venues récupérer elles-mêmes, leur don », a-t-elle notifié avant de souligner qu’une équipe dirigeante est mise en place pour continuer la remise des vivres aux familles qui sont à Cotonou, Porto-Novo, Allada.... Ce geste, a-t-elle poursuivi.

« nous le faisons pas parce que nous sommes riches, nous le faisons pas parce que nous en avons assez, mais nous estimons que c’est un devoir pour nous parce que lorsque nous pensons aux bons moments que nous avons passés ensemble avec ses confrères, alors cette tradition devient plus qu’une obligation pour nous ».



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