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Le passage du président de la République, Patrice Talon au parlement le vendredi 20 décembre dernier, continue de susciter des débats. Des réactions continuent de pleuvoir et la dernière en date est celle de l’ancien ministre délégué auprès du président de la République, chargé de la défense nationale, Candide Azannaï. Pour ce dernier, le Chef de l’Etat a adopté une posture qui n’est pas la meilleure.
« Le registre langagier de Patrice TALON dans l’enceinte de l’Assemblée Nationale (…), est abusif de l’article 72 de la Constitution. », selon l’ancien ministre Candide Azannaï.
Pour ce dernier en effet, le Chef de l’Etat s’est illustré comme quelqu’un qui est venu « se rengorger dans l’enceinte parlementaire ». Il n’est pas superflu de rappeler que lors de son discours, le président de la République a haussé le ton.
Morceaux choisis : « « Le Bénin notre pays a trouvé son chemin et cela est irréversible, peu importe l’opinion
et le souhait des nostalgiques en quête d’un retour à notre passé honteux.
Finie, finie l’usurpation du pouvoir politique par des vendeurs d’illusions incompétents et mal intentionnés.
Aucune supplication, aucun râlement, aucune menace ne nous fera reculer.
Honorables députés, aucun compromis politique préjudiciable à notre développement ne sera concédé, pour plaire à qui que ce soit ou pour satisfaire un quelconque consensus politique.
Le Bénin est au-dessus de tout ; la démocratie et la compétition politique devront, désormais, être exclusivement et absolument au service de notre développement », a déclaré Patrice Talon pour clôturer son discours », avait déclaré Patrice Talon.
Pour ces propos tenus, Candide Azannaï pense qu’il ne faut plus permettre au président de tenir de tels propos dans le parlement.
« Il y a urgence à agir à l’effet d’obstruer sans délai toute possibilité (…), de rééditer », la même chose au parlement. A l’en croire, les propos rabaissent la Nation tout entière. « Que l’Assemblée Nationale, la classe politique, la société civile et la Nation toute entière soient rabaissées au point de paraître une serpillière d’un Président de la République est une rosserie, un tour de cochon déplorable, un coup de crasse… », a-t-il déclaré. Dans sa publication, l’ancien ministre a promis revenir avec une seconde partie, et toujours sur le discours du Chef de l’Etat au parlement.
Depuis son départ du premier gouvernement de Patrice Talon, en mars 2017, Candide Azannaï s’est érigé en leader de l’opposition au régime de la rupture. Coordonnateur n°1 de la « Résistance nationale », l’ancien député pense qu’il est inutile d’aller aux élections avec le régime en place. A l’en croire, l’alternance pacifique est possible dans la « résistance », et non dans les urnes.
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