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Au cours de sa récente sortie sur Sibikan Médias, l’ancien ministre des sports, Ganiou Soglo a rappelé à l’actuel président de l’Union Progressiste, Me Jospeh Djogbénou ; au ministre de la justice et de la législation, Me Sévérin Quenum, le ‘’mercredi rouge’’ de la contestation.
C’était un mouvement créé en juillet 2013 pour s’opposer au régime défunt dont, selon certains des acteurs, le président Boni Yayi tenterait de réviser la constitution. « Les Béninois ont faim et crient leur désespoir face à la corruption érigée en mode de gestion. À deux ans et demi de la fin de son mandat, le président Boni Yayi s’entête à vouloir réviser la Loi fondamentale pour s’accrocher au pouvoir », s’indignait à l’époquie, Urbain Amégbédji, l’un des têtes pensantes dudit mouvement et militant du mouvement Alternative citoyenne (AC), lancé en mars pour s’opposer à la révision constitutionnelle.
Pour y arriver depuis, le 17 juillet 2013, des opposants de tout secteur au régime se paraient, chaque mercredi, d’un signe distinctif rouge. T-shirt, pantalon, foulard, casquette. Ils ont en effet, décidé de protester en couleur contre la réforme constitutionnelle prévue par le chef de l’État, Boni Yayi, et ont lancé le mouvement des « mercredis rouges ».
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Un mouvement qui, quoiqu’on dise, a atténué les vieillîtes révisionnistes, s’il en existait vraiment du régime défunt.
En effet, pour des acteurs dont l’ancien ministre Ganiou Soglo qui réclament plus démocratie aujourd’hui, l’instauration dudit mouvement (NDLR mercredi rouge), sous le régime de Boni Yayi traduisait la liberté d’expression et de penser au Bénin à l’époque. Ganiou Soglo qui a parlé de « démocrature » au cours de son émission, pour illustrer les agissements du pouvoir actuel, a voulu juste insinuer, parlant de l’ancien président de la Cour Constitutionnelle Joseph Djogbnénou et ; du ministre Sévérin Quenum, que la liberté dont ils ont jouie hier, est un tant soit peu, mise sous éteignoir, pendant qu’ils ont les leviers de commande en main désormais.
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