A quelques jours de l’installation des députés de la 9è législature, suivie de l’élection des membres du bureau, toutes les attentions sont polarisées sur le poste du président du parlement. Bertin Koovi, membre du Bloc Républicain (BR) pense qu’un choix idéal doit être fait et pas n’importe lequel.

Avec une majorité écrasante de 81 députés réunis par ses deux partis notamment l’Union Progressiste le Renouveau et le Bloc Républicain la mouvance présidentielle est sûre de désigner le prochain président de l’Assemblée nationale dans ses rangs. Seulement, on se demande de quel parti sera issu la future 2è personnalité de l’Etat ? Sur cette question les commentaires vont bon train. Mais à la faveur de son passage dans une émission la semaine écoulée sur la Web radio ESAE, l’ancien président de l’Alliance Iroko et actuel membre du BR, Bertin Koovi croit dur comme fer que le président de la République Patrice Talon doit opter pour le choix d’un membre de sa formation politique.

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D’abord, le candidat malheureux à la présidentielle de 2016 fait appel à la géopolitique et estime que le futur président du parlement doit être de la région septentrionale.
Ensuite l’ancien opposant au régime fonde son argumentaire sur un autre fait. A l’en croire, les présidents des Institutions telles que la Cour constitutionnelle, la Commission électorale nationale autonome (CENA) ; la Haute autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) ; et mieux, soutient-il, la plupart des ministres du gouvernement, sont tous de l’Union progressiste le Renouveau (UP le Renouveau).