"Ouvrir une école, c’est fermer une prison", recommandait à bon droit, Victor Hugo. Et, sans être contemporain de l’écrivain français, Patrice Talon a reconnu sous sa gouvernance, la valeur de ce lieu de savoir (l’école), aussi "sanctuaire que la chapelle". Conséquence, opposants comme mouvanciers sont tombés sous son charme. Des lauriers, le chantre du Nouveau Départ en a reçu ce dimanche de la part de Fred Houénou, nouveau conseiller technique aux actions stratégiques du ministre de la communication, de la poste et porte-parole du gouvernement, Alain Orunla. Sur l’émission "Regard sur l’actualité" de E-Télé, Fed Houénou comme c’est celui qu’il s’agit, ne s’est pas empêché de tresser des couronnes à Patrice Talon.

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A cause de ses actions de développement à la tête du pays d’une part, et pour le secteur de l’éducation, partant de l’installation du Conseil National de l’Education, d’autre part. " Le CNE est une institution qui réconcilie les béninois ", a-t-il déclaré. Membre du parti de l’opposition, Forces Cauris pour le Développement du Bénin (FCFB), Fred Houenou au cours de son passage dans l’émission, est revenu sur la réforme du système partisan, la convocation du corps électoral pour les prochaines élections communales, les violences à Savè, et l’installation du conseil national de l’éducation (CNE). Dernier volet, qui lui fait dire que « le conseil national de l’éducation est une institution qui réconcilie les béninois ». A l’en croire, l’école de la République doit être en mesure de dire au professeur où est sa place et à l’élève où est la sienne. « En mettant en place le CNE, le chefe de l’Etat veut que nous ayons une école de développement », a affirmé le CTAS Fred Houénou