Une alerte à la bombe à l’aéroport international de Victoria Falls, a créé la psychose au sein de l’équipage en compagnie du président Zimbabwéen Emmerson Mnangagwa, vendredi dernier. Conséquence, son vol a été contraint de faire demi-tour, vers Harare, après ladite alerte.

Par le biais d’un e-mail envoyé par FastJet Airline, signé par John Doe, les autorités aéroportuaires du Zimbabwe ont été informées d’une « menace crédible de bombe ou d’arme à feu ciblant les aéroports zimbabwéens », a déclaré M. Charamba dans un communiqué. Il ajoute en outre que « par mesure de précaution, les dispositifs de sécurité du pays sont désormais en alerte maximale en raison de ce message, dont la source et la crédibilité font l’objet d’une enquête ».

Il est vrai relate lecommuniqué que le Zimbabwe est un pays épris de paix mais les attaques liées au terrorisme sont prises au sérieux, indique son auteur. Eu égard, à l’évolution de la situation, M. Mnangagwa, qui devait prendre la parole lors d’une réunion à la station balnéaire de Victoria Falls, a dû suspendre son voyage.

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« La nation est appelée à rester calme pendant que les enquêtes en cours se déroulent, et les résultats seront rendus publics par les autorités gouvernementales compétentes une fois terminées », a ajouté M. Charamba.

Il a également précisé que « par mesure de précaution, les dispositifs de sécurité du pays sont désormais en alerte maximale en raison de ce message, dont la source et la crédibilité font l’objet d’une enquête ». Il faut rappeler qu’en dehors de l’avion transportant le président Mnangagwa, un autre vol, c’est-à-dire, celui de Kenyan Airways en provenance de Nairobi a aussi connu de perturbation.