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États-Unis : un homme condamné par la justice à 707 ans de prison ferme
La justice américaine a condamné la semaine dernière, un homme à 707 ans de prison pour avoir agressé sexuellement 16 enfants. Le coupable profitait de sa fonction de baby-sitter pour abuser de ses victimes.
Cet homme n’a pas le droit de mourir même en prison. Baby-sitter, la justice américaine a condamné, Matthew Antonio Zakrzewski, à 707 ans de prisons pour les faits d’agressions sexuelles sur 16 enfants.
Le pot aux roses a été découvert quand l’accusé a été signalé à la police de Laguna Beach, en Californie, par un couple. Il est soupçonné d’avoir fait des attouchements à leur fils de 8 ans. Arrêté en 2019, l’enquête va permettre de découvrir ses autres victimes.
Agées de 2 à 12 ans, elles (victimes) étaient agressées sexuellement par Matthew Antonio Zakrzewski et qui a également montré des contenus p0rnographiques à un garçon. Il profitait de l’absence des parents qui le sollicitaient pour exécuter son forfait. Alors qu’il comparaissait, le vendredi 17 novembre dernier, devant le juge du comté d’Orange, en Californie, Matthew Antonio Zakrzewski n’a eu aucune pitié pour les victimes et leurs familles. Il s’est contenté de les narguer.
« J’étais fier d’apporter le sourire à vos enfants et tous les bons moments que nous avons partagés étaient 100% authentiques », a-t-il déclaré. Des propos qui ont sonné des parents, regrettant d’avoir laissé leurs enfants dans les mains d’un tel ‘’psychopathe’’.
Jugé pour une trentaine de chefs d’inculpation, Matthew Antonio Zakrzewski, âgé de 34 ans, a été condamné à 707 ans de prison et reconnu coupable d’avoir montré des contenus p0rnographiques à un jeune garçon. Une sentence qui révèle la gravité des actes qu’il a commis sur ses victimes. Une terreur inimaginable que décrit le procureur chargé de l’affaire.
Selon la déclaration de Todd Spitzer, procureur du comté d’Orange, rapportée par le site d’information CNews, Matthew Antonio Zakrzewski « n’avait aucun intérêt à protéger ces enfants ; son seul intérêt était de s’attaquer à leur innocence et de filmer les agressions pour sa satisfaction sexuelle malsaine ». « Ces jeunes garçons ont été contraints d’endurer une terreur inimaginable à la suite de la trahison ultime d’un baby-sitter », a-t-il précisé.
Si la peine prononcée est très importante, elle reste bien en deçà des records de peines cumulées aux États-Unis. En 1994, Charles Scott Robinson avait été condamné à 30.000 années de prison pour le viol de plusieurs enfants. La cour de l’Oklahoma qui l’a condamné avait fixé une peine de 5.000 ans de prison par victime.
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