Une histoire, récemment partagée sur les réseaux sociaux, a suscité un débat animé chez les internautes, dont certains saluent l’intelligence manifeste d’une femme confrontée à une situation difficile.

Le récit, relayé par Coach Tata Myrah sur sa page Facebook, décrit le moment où un homme à Yaoundé au Cameroun, après avoir passé huit mois avec sa maîtresse, revient chez lui pour découvrir que sa femme a vendu la maison familiale et est partie en France. Cette action audacieuse a suscité une série de réactions passionnées chez les internautes.

Certains ont exprimé leur admiration pour la femme, la qualifiant de courageuse et intelligente. Un utilisateur de Facebook a même offert son soutien financier à la femme, affirmant qu’il lui ferait un dépôt même si elle se trouvait en France. D’autres ont souligné la responsabilité de l’homme dans cette situation. Ils estiment qu’un véritable partenaire ne laisserait jamais sa famille dans une telle détresse. Ils ont critiqué l’attitude de l’homme qui, par son infidélité, a poussé sa femme à prendre une décision aussi radicale.

Toutes les réactions ne sont pas unanimes sur cette affaire. Certains internautes ont exprimé leur soutien à l’homme. Ils soulignent que la vente de la maison familiale était une action extrême et injuste. Cependant, ces opinions minoritaires n’ont pas réussi à atténuer le flot de sympathie et de soutien envers la femme. Mais une question juridique a été soulevée parmi les commentaires, concernant la légalité de la vente de la maison par la femme, rapporte camerounweb.

« Étant donné que le mari est en vie, elle ne peut pas vendre la maison. Car le bien ne l’appartient pas, devant la justice l’acheteur va seulement perdre son argent. Le terrain lui sera arraché », a écrit un internaute.